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Poème Adorable gamine que le matin apporteras, je te déposerai dans ton berçeau, dans tes langes de soie fine. Ton petit corps s'épanouiras au son d'un air mélodieux. Tes premiers pas mignonne sillonneront une époque nouvelle mais ne craint rien, ta maman sera toujours là. ton coeur haïra personne pour toi la vie sera belle et tu pourras lui tendre les bras. Tu connaîtras un jour la surface de la lune, aussi celui qui t'aimeras. L'ère nouvelle sera l'amour où fleuriront sur la dûne les jolies fleurs qui seront pour toi; Éternelles. réécrit en 1983 texte original de Cirda |
DON IMPORTANT J’ai perdu un don important et je ne peut le trouver, aurait-il sombré un instant pour se faire oublier. Que se soit un être vivant, un précieux objet, tout ce que je possèdes j’y tiens grandement. Si un jour vous le trouver il sera reconnaissable car il est signé du mot; Aimer avec un petit message charitable. Ayez au cœur la bonté de le placer à ma porte et mon cœur blessé retrouvera sa force. Écrit en 1985 |
DANS L’ATTENTE D’UN ENFANT La vie est une découverte pour un amour qui revit, dans une fleur entre-ouverte, pour le soleil qui luit. La vie est un réel recommencement, en regardant tantôt naître la fleur. La maman patiemment attend son enfant, qui naîtra dans l’amour et la douleur. Ce trésor quelle désir de tout cœur, se berçant tendrement dans son sein. Il naîtra un jour de bonheur, apportant un espoir pour demain. Au jardin du cœur et de l’amour, de la terre et du foyer. Il apprendra à aimer sans détour, lorsqu’il naîtra et sera là pour aimer. Viens je t’attends mon bébé d’amour Écris en 1970 Irène |
"RENDEZ-VOUS D'AMOUR" -1- Dans le parcours de la vie l'amitié arrive soudain, et dans l'échange, on se dit; va et reviens car j'ai besoin. Le soleil aussi a donné un rendez-vous pour montrer l'exemple à l'humain, à Madame la lune au dessus de nous afin que l'amour ne soit plus mesquin. -2- Comme une grande chaine humaine un jour les mains se rencontreront, pareil à ces astres, à l'amour même, dans une amitié où tous fraterniseront. Les coeurs brilleront d'amour, Les fleurs ne seront jamais fanées, la nature reverdira toujours, et chacun connaîtra le verbe aimer. .écris en 1985 texte original de Cirda |
CABANE À SUCRE-1 Demi-hiver, demi-printemps, la nouvelle saison nous appelle avec nos bottes, nos tuques et nos gants, partager cette journée exceptionnelle. Un groupe arrive joyeux et heureux à la cabane à sucre fort gaiement. déguster cette sève en un sirop délicieux Sur un des plus beaux site Ensemble on s’amuse, on fête, on rit l’on partage une forte amitié tantôt la tire, le sucre et tout cuit, sur un feu venant nous réchauffer. Répandre sur la neige cette tire dorée, où chacun déguste ce merveilleux délice. A la cabane à sucre, on y va pour s’amuser avec des chants, de la danse. Tout ensemble on fraternise. Beauté de la nature sous les érables, cadeau précieux que l’on peut goûter. Quelle fortune inestimable qui nous a été donné. Écrit en 1978 |
EXEMPLE UNIQUE
Dans ce décor masqué au son de bruits insolites son visage tout peinturé son coeur battait trop vite cherchant gaiement un chemin autour d'une foule heureuse afin de pouvoir donner la main pour cette journée joyeuse et merveilleuse. Sautant; Sautillant de tout bord de tout côté, avec du linge trop grand on entrevoit cette bonté qui scintille dans ses yeux, car sans restriction, il sait donner surtout quand c'est pour Dieu alors il peut oser. Dans cet exemple vivant il a apporté une présence une présence qui apparait grandiose dans tout les sens puisque son personnage état jouer avec humour et amour remplie d'un Esprit de Sainteté et qui a comblé de bonheur ce jour. écris en 1979 |
POÈMES CONTRE LA PÉDOPHILIE
Protégeons nos enfants contre ce gros problème qui brise la vie de nos touts petits. Ce poème est pour dénoncer ses abuseurs car celà m'attriste beaucoup. CORPS BRISÉ; COEUR FANÉ Son corps il a brisé son coeur il a fané. Souillant sa p'tite enfance, sans cri dans le silence. ses yeux ont tant pleurés, des perles de rosées. Ses pleurs et tout essoufflés, ses douleurs restant cachées. Découvrant son ignorance, sans aucune tolérance. Brisant dans la joie, son corps, écrasant comme un jouet son coeur. Des anges bien-aimés, l'ont enfin libérés. Des peurs du lendemain, de revoir ses yeux, de sentir ses mains. pouvoir tout oubliées, l'attaque du passé. -4- Oui son corps il a brisé, et oui son coeur, il a fané. avec la puissance de son corps, il a souillé sa p'tite enfance. Ses doigts touchant son corps sans cri dans le silence. ses yeux ont trop pleurés, des larmes de rosée. Écris en 2005 texte original de Cirda |
FORTERESSE DU PASSÉ Nous avions bâtie une forteresse bien différente de tout les pays, puisque l’amour et la tendresse était présent sur le parvis. Son air de grande simplicité et tout l’éclat de sa lumière, offrait l’unique générosité dans la paix et la prière. Ses murs fabriqués de bonheur étaient l’espoir d’un renouveau, puisque Dieu dans sa grandeur le protégeait sous son manteau. Par dessus l’amour florissant nos cœurs et nos mains unissaient, le matin dans l’émerveillement sur une œuvre qui grandissait. Écrit en 1986 |
LES LARMES D’UN ENFANT
Sur une étoile un chérubin veillait Sur cette terre pour y découvrir vraiment Comment vivent nos chers enfants. Un souffle doucement descendait Rejoindre les joues trop blanches, D’un garçonnet qui pleurait. Sur une étoile un chérubin riait Sur cette terre pour y déposer vraiment L’amour au cœur de nos chers enfants. Un souffle gentiment s’en allait Rejoindre les joues trop blanches D’un garçonnet qui pleurait. Sur une étoile un chérubin priait Sur cette terre pour y apporter vraiment La paix dans l’âme de nos chers enfants. Un souffle tendrement déposait Les larmes d’amour dans le cœur D’un garçonnet qui pleurait. Viens dans mes bras petit enfant Sèche tes larmes Laisse-toi aimer Viens Viens Viens. écris en 1980 |
J’AI VU UN MENDIANT-1 J’ai vu dans sa patience un désir pour aimer l’amour dans le silence l’effort à partager. Très près, une foule immense qui voulait l’ignorer par ce cri de l’innocence avec ses yeux inondés. J’ai vu dans sa sagesse cette force pour écouter la peine et la tristesse l’action pour consoler. Ressentant sa détresse les cœurs l’ont oubliés même malgré sa faiblesse son cœur pouvait aimer. J’ai vu dans son courage une grande sincérité pour des mots sans images sans jamais être respecté. Pareil à un mirage ces gens sans visages vivant sans aimer. J’ai vu dans un espoir les gestes à protéger du matin jusqu’au soir des mains entre-croisées. Espérer sans le savoir que le cœur peut changer pour trouver la gloire si les gens pouvaient s’aimer Écrit en 1982 |
AU CREUX DES MAINS Quel est la couleur du jour du soleil et de la vie, j’ai oubliée pour toujours parce que je n’ai plus d’amis. Dans le fossé de la vie coule les larmes des miséreux, leurs corps vivants que la nuit n’ont plus le droit au ciel bleu. Pourtant la fleur est tout près, prête à se laisser cueillir, j’aimerais tellement tu sais que quelqu’un puisse me l’offrir. Mais au lever du soleil déjà elle était partie, pourquoi suis-je pas pareil à tout ceux et celles qui vivent ici. Mes mains veulent saisir l’amour au cœur même de l’infini, mais personnes aux alentours m’apportent, tendresse à mes cris. Sous la pluie que font mes larmes seul je poursuis mon chemin, en moi je ne possède qu’une arme l’amour aux creux de mes mains. Écris en 1988 texte original de Cirdal |
Cliquez ici pour modifier.LE PAPILLON D’AMOUR
J’ai tant couru à travers les sentiers, Personne ne m’as reconnue, mes yeux avaient trop pleurés en souhaitant paix et douceur, Montrant à tous la vraie vérité mais seul est resté mon cœur. Il faudra que Dieu sois là, car mon cœur est délaissé. Avec moi toujours il restera car Lui connaît la vérité, tout ces regards familiers que m’apportait mon destin. Entourés de ceux et celles qui aimaient mon amitié, maintenant tous me regardent de loin. Alors un jour, arriva près de moi un papillon couleur de l’amour, des mots étaient inscrit sur ces ailes en lettres d’or. VÉRITÉ, et espère sans PARDON car moi Dieu, je les ai écrit pour ne jamais t’ oublier. Ton cœur est fait d’amour, de bonté et de sincérité. Moi toujours sur ton chemin je t’accompagnerai. Été 1984 texte original de Cirda |
VIVONS D'ESPOIR" Regardons vers le haut ou passe les nuages, chantons avec eux en duo des chants qui se partagent. Chantons l'amour et l'espoir la beauté, la nature et l'essentiel, sous le calme du soir ces mots, montant vers le ciel. L'espoir pansera nos peurs, alors pourquoi s'inquiéter puisque nous reverrons les fleurs, au jardin, à l'arrivée de l'été. écris en 2011 texte original de Cirda |
VOULOIR PLAIRE
Vouloir plaire à ceux que l'on aime c'est effleurer son coeur avec la douceur de son âme vers l'amitié et l'amour qui offrent tant de beauté quand on ose encore dire "aimer" Vouloir remercier ceux que l'on aiment c'est ouvrir son coeur avec la clef de son âme et y déposer pour toujours des amis tels que vous avec les mots les plus beaux "je t'aime" Vouloir adorer ceux que l'on aiment c'est de lui offrir son coeur avec la pureté de son âme et de faire monter une prière un message précieux à Dieu lui qui a bien voulu "Nous aimé" écris en 1980 texte original de Cirda |
TOI CANCER
Ensemble offrons de belles pensées positives
éclairée d'une lueur d'amour éternelle. Puisqu'une flamme ne s'affaiblit jamais, quand une autre s'allume. Donnons un effort pour la garder toujours bien vivante. |
Mon corps étant fort et sensible donnant à tous amour et amitié combattant sur ce chemin si difficile entre la douleur et la sérénité. Malaise et souffrance dans ma chair mes larmes n'arrêtent plus de couler attaquer par ce vilain cancer dans mon corps meurtri et brisé. Pourquoi m'as tu choisi rongeant ainsi mes entrailles moi qui voudrait tant guérir je me sent étouffer par ses broussailles Mon corps était fort et sensible avec tes griffes en sournois tu es venu m'enlevant la force pour survivre mais crois-moi, demain, je t'aurai vaincu. écris en 2005 texte original de Cirda |
MA VIE COMME UN TABLEAU Dieu m’a donné des pinceaux et des couleurs, Il m’a dit, peint de ton mieux, une toile à la fois. Une toile sera une semaine sur l’aiguille du temps, dans un mois 4 à 5 toiles, dans dix ans, peut-être 720 toiles réalisées. Plusieurs seront réussies, d’autres seront à finir. Quelques autres seront à reprendre. Que de tableaux exécutés avec pleins de couleurs pour marquer ta vie. Rose seront tes joies, Noir représenteront tes peines, Gris pour tes doutes, Vert pareil à tes espérances, Rouge sincère comme toutes tes affections, Bleu croire à tes désirs, Blanc pour le don total, pour tous ceux et celles que tu aiment dans la vie. Donc l’amour, le courage, et la persévérance seront la force du peintre que tu as été. Pour atteindre ta récompense; Ton exposition sera éternelle. écris en 1970 texte orignal de Cirda |
TOI LA VIE, JE CROIS EN TOI
La vie est un long parcours qui nous amène à réfléchir, sur différentes étapes de toutes sortes que nous vivons. Soit sur des joies magnifiques ou sur des peines très difficiles à vivre. Regardant vers le haut ou le soleil brille, l’espérance nous appelle à la prière ou à la méditation afin que ce chemin soit facile à traverser. Sa puissance majestueuse de par sa lumière, nous donne la force d’aimer et de prier. Cette vie qui souffle en chacun de nous viens offrir son air de tendresse et de compassion. Voulant apaiser nos douleurs et nos inquiétudes, en nous donnant cette joie de vivre. Croire en la vie c’est de profiter et de partager tout le beau et le bon qu’elle nous offre. Car toi la vie je crois en toi, écris en 1984 texte original de Cirda |
CONTRE LA PÉDOPHILIE;
Voici un autre poème traitant de ce sujet que je déplore. MES CRIS SANS ÉCHOS Dans ma chambre sans lumière, des pas se font entendre. Dans mon lit, loin de ma mère, en silence, je me fais surprendre. Ressentir des mains agitées, brisant ainsi mon sommeil. De peur, mon cœur semble s’arrêter, mes heures seront tristes aux réveil. Ses bras très fort en me serrant, contre son corps dénué et humide. Parcourant mon corps méchamment, avec ses deux mains avides. Mes cris sans échos, versant des larmes souillées. Maintenant ma vie comme un tombeau, ma jeunesse à jamais volée et brisée écris en 2008 texte original de Cirda |
CONTRE LA PÉDOPHILIE
Car je voudrais que tout les jeunes soit protéger contre ce fléau de la pédophilie TEL UN OISEAU BLESSÉ Un soir au clair de lune une ombre se fait sentir, la traînant sur la dune complètement dévêtue. Elle ressent d’énormes souffrances dans son corps de jeunesse, rêvant d’une forte espérance elle prie pour que ça cesse. Comme un oiseau blessé pressée entre ses bras, sa vie peut s’arrêter elle démissionne au combat. Son corps maintenant souillé sa voix faible et sans échos, sur le sol humidifié elle pense à son dernier repos. écris en 2010 texte original de Cirda |
DORS TENDREMENT
Jolie comme un clair de lune un ange veille sur toi, car tout près est la dune qui t’invite à ses joies. Tu aime le sable et l’eau la source et le rocher, pareil à ton berceau tu te laisse bercer. Dors tendrement chérie tes rêves sont fais de bonheur, mes mains protègeront ta vie moi l’ange, ton protecteur. Tes songes seront fais d’amour et là où je les déposerai, dans mon cœur pour toujours ils seront bien protégés. Écrit en 1981 Cliquez ici pour modifier. |
.CORPS BRISÉ; CŒUR FANÉ-1
Son corps il a brisé Son cœur il a fané. Souillant sa p’tite enfance, Sans cri dans le silence. Ses yeux ont tant pleurés, Des perles de rosées. Ses pleurs toutes étouffées, Ses douleurs restant cachées. Découvrant son ignorance, Sans aucune tolérance. Brisant dans la joie, son corps, Écrasant comme un jouet son cœur. Des anges bien-aimés, L’ont enfin libérés. Des peurs du lendemain, De revoir ses yeux, de sentir ses mains. Pouvoir tout oubliés. L’attaque du passé. Oui son corps il a brisé, Et oui son cœur, il a fané. Avec la puissance de son corps, Il a souillé sa p’tite enfance. Ses doigts touchant son corps Sans cri dans le silence. Ses yeux ont trop pleurés, Des larmes de rosée. Écrit en 2005 |